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Antisionisme = Antisémitisme
Cette semaine marque le 66e anniversaire de l’un des plus célèbres événements de l’histoire juive moderne : la décision de l’Assemblée générale des Nations Unies en faveur de la partition du mandat britannique de la Palestine en deux Etats indépendants – un juif et l’autre arabe , adopté le 29 novembre 1947.

Le monde arabe d’une seule voix, amèrement, a condamné ce qu’on a appelé « le plan de partage » et a menacé de détruire l’Etat juif si il déclarait son indépendance. En fait, la partie arabe n’a pas attendu cette date et six mois plus tard a attaqué la Palestine juive. Le lendemain ils lançaient ce qu’Israël nomme la guerre d’indépendance et les arabes la Nakba, ce qu’ils considèrent être une dépossession de leurs terres…

terrepromise...
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Cette semaine marque le 66e anniversaire de l’un des plus célèbres événements de l’histoire juive moderne : la décision de l’Assemblée générale des Nations Unies en faveur de la partition du mandat britannique de la Palestine en deux Etats indépendants – un juif et l’autre arabe , adopté le 29 novembre 1947.

Le monde arabe d’une seule voix, amèrement, a condamné ce qu’on a appelé « le plan de partage » et a menacé de détruire l’Etat juif si il déclarait son indépendance. En fait, la partie arabe n’a pas attendu cette date et six mois plus tard a attaqué la Palestine juive. Le lendemain ils lançaient ce qu’Israël nomme la guerre d’indépendance et les arabes la Nakba, ce qu’ils considèrent être une dépossession de leurs terres…

terrepromise

Depuis lors, des coalitions changeantes ont fait la guerre en continue à Israël, à la fois sur et hors du champ de bataille. La guerre de propagande est implacable. Cette guerre de propagande, appuyée par quelques Américains et les Européens, comprend des tentatives visant à fausser et obscurcir le dossier historique concernant la fondation d’Israël.

L’une de ces tactiques est de tenter de propager des « mythes de la création » destinés à donner la fausse impression qu’Israël est une entité artificielle imposée par des puissances extérieures sur une population arabe injustement victime.

Ci-dessous, quatre de ces mythes sont abordés :
Mythe n ° 1 : L’ ONU a créé Israël .

L’ONU est une organisation internationale d’États-nations créées par un traité peu après la Seconde Guerre mondiale, dans le but principal d’empêcher la guerre. Il dispose de deux principaux organes directeurs, l’Assemblée générale et le Conseil de sécurité. La plupart de l’autorité incombe au Conseil de sécurité, le seul organe qui peut créer des obligations contraignantes pour les Etats membres. L’Assemblée générale ne peut faire que des recommandations ou des déclarations de politique générale.

En mai 1947, le gouvernement britannique a annoncé qu’il mettrait fin à son règne de 30 ans sur la Palestine et a demandé à l’ONU de décider de son avenir. Le 29 novembre 1947, l’Assemblée générale a adopté la résolution 181, le plan de partage. Cette résolution était une suggestion, pas une obligation. Les arabes ont rejeté le vote et lancé la guerre d’anéantissement contre Israël.

Le Conseil de sécurité pourrait avoir soutenu l’Assemblée générale et envoyer des forces pour maintenir la paix, mais elle n’a rien fait. Aucune nation, ou groupe de pays ou tout autre organe des Nations Unies n’a pris des mesures de nature à prévenir ou à punir l’agression arabe. Lorsque les armées de cinq pays arabes ont envahi le nouvel Etat d’Israël , ils ont violés de manière flagrante la Charte des Nations Unies, qui interdit les guerres d’agression. Mais le Conseil de sécurité n’a toujours rien.

En fin de compte, aucune nation ou groupe de nations n’a pris des mesures politiques ou militaires concrètes pour arrêter les armées arabes. Aucune armée étrangère est venu à la défense d’Israël, pas en 1948. Pas plus que plus tard.

Mythe n ° 2 : Les États-Unis ont créés Israël .

Président Truman était aux affaires en 1947 et 1948. Il était personnellement sensible avec sort des survivants juifs de l’Holocauste, mais son secrétaire d’Etat a favorisé l’adoption de la position pro arabe que le gouvernement britannique avait adopté. Ainsi, alors que les États-Unis soutenait partition ( au moins au début ) et est devenu le premier pays à reconnaître officiellement l’Etat Juif, l’Oncle Sam a refusé toute assistance et à même imposé un embargo sur les armes à Israël. Contrairement à ce que beaucoup de gens pensent, les États-Unis n’étaient pas des vrais amis d’Israël…

La seule puissance mondiale prête à aider Israël pourrait surprendre certain lecteurs… Il s’agit de l’Union Soviétique. Grâce à son Etat satellite, la Tchécoslovaquie, Israël a pu acheter des armes dont il avait désespérément besoin. Alors que Staline n’était pas Judophile, et c’est un euphémisme, il a comprit la real-politik de la région et a voulu aider Israël.



Mythe n ° 3 : Israël a été créé comme en compensation de la Shoah

C’est un mythe particulièrement souvent répétée par les ennemis d’Israël, par exemple les palestiniens ou l’Iran. Ils nient le fait que la renaissance d’Israël est un évènement naturel historique. L’Holocauste et ses conséquences ont certainement joué un rôle de catalyseur , en ce qu’il a galvanisé le peuple juif à l’intérieur et à l’extérieur de la Palestine et qu’il a permis aux juifs de s’unir contre les colons anglais… Mais voilà tout !

L’Holocauste n’a joué aucun rôle dans la fondation d’Israël. En fait , le nombre de survivants de l’Holocauste qui ont effectivement déménagé en Palestine ou Israël n’était qu’une fraction du nombre d’immigrants juifs qui sont arrivés à la fois avant et après la fondation de l’État .



Mythe n ° 4 : Israël ne pourrait pas exister sans avoir volé les biens des arabes

Celui-ci est un gros mensonge que même les plus intelligents des propagandistes arabes répètent… Mais étant donné à quel point l’ignorance et la désinformation se propagent sur Israël, en particulier sur Internet, il est nécessaire d’en parler. Tout d’abord, la prémisse sous-jacente, que les Juifs ont volontairement et malicieusement dépossédés l’ensemble de la population arabe est faux à plusieurs niveaux. Une partie importante (environ un tiers) des Arabes de Palestine ont été dépossédés, mais à la suite d’une guerre qu’ils ont commencé. Une analyse détaillée des causes de la dépossession arabe est au-delà de la portée de cet article. Il doit simplement être noté que les combattants des deux côtés ont commis des atrocités et des civils des deux côtés ont terriblement souffert, y compris de la perte de leurs maisons. La souffrance qui a été causé, cependant, est en grande partie la faute de la partie arabe qui a lancé et qui perpétue la guerre. Reprocher à Israël la « Naqba, » est un cas classique de visant à accusé l’agressé pour renverser la réalité historique.

Mais en supposant, pour les besoins du raisonnement que, qu’Israël était à blâmer, ce mythe serait encore un mensonge car il ignore le fait fondamental que les parties de la Palestine qui sont devenus » L’Etat d’Israël » ont été développées principalement par les Juifs qui y habitaient. Les juifs ont fondés Tel Aviv, les plus grandes parties de Haïfa et de Jérusalem-ouest, ainsi que des centaines de petites villes et de villages, bien avant 1948 !

S’il n’y avait pas eu la guerre, il n’y aurait pas eu dépossession, et il y aurait quand même eu un Etat Juif.

Les propriétés arabes n’étaient ni nécessaires ni convoitées avant la guerre, même si parfois elles ont été pillées. Mais la même chose est vraie pour des milliers de biens juifs qui ont finis dans les mains arabes, à Jérusalem, en Cisjordanie sous contrôle de la Transjordanie ou à Jérusalem-Est dans dans la bande de Gaza… Et c’est sans parler du million de réfugié juif qui a dû partir des pays arabes !

La Naqba palestinienne était auto-infligé. Il est temps pour les Palestiniens de comprendre ce fait, de mettre fin à leur guerre «juste» , et pour eux de vivre en paix avec leurs voisins israéliens.

Par David Shayne – Algeimener –
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