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Conte : L'histoire de "Noire-pluie"

Il y a les accros à facebook,

il y a les détracteurs de facebook,

il y a ceux qui, comme moi, sont bien contents que facebook existe car grâce à lui, on découvre des gens intéressants, des informations que sans lui on aurait ignorées.

 

Aujourd'hui, je vous sers un petit conte trouvé sur le mur facebook  de MiG. IL s'agit bien sûr d'un conte qui n'existe pas encore mais qui fera les délices de nos petits- enfants quand la France aura été entièrement islamisée et au train où vont les choses, cela ne devrait pas prendre bien longtemps. 

 

Conte : Noire pluie - 1ère partie


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C’était au milieu de l’hiver, et une pluie torrentielle tombait en cette nuit noire sur ce lointain royaume de l’orient où il ne pleut quasiment jamais. La quatrième favorite du Sultan était en train d’accoucher et lorsque l’enfant eut vu le jour, la pauvre femme mourut. On appela la petite fille qui venait de naître Noire-Pluie en référence à cette funeste nuit et cette pluie si rare dans ces contrées. 


Dans ce royaume Il y avait un Mollah qui était extrêmement fier et dévot et qui ne pouvait souffrir que quelqu’un d’autre soit plus religieux et pratiquant que lui .Il avait un miroir merveilleux et quand il se mettait devant lui pour admirer sa djellaba il disait : « Petit miroir, petit miroir, dis-moi qui est le plus béni d’Allah ? » 


Et le miroir répondait : « Mon cher Mollah, tu es le plus béni par Allah sur cette terre des croyants » Alors il bichait comme un pou car il savait que le miroir disait la vérité. 


Mais Noire-Pluie grandit et devenait toujours plus dévote, normal elle avait que ça à faire, lire et relire le Coran, et quand elle eut 9 ans, l’âge de se marier dans ces contrées soit-dit en passant, comme le mollah demandait une fois de plus à son miroir pour la quatrième fois ce jour -là :

« Petit miroir, petit miroir, dis-moi qui est le plus béni d’Allah ? » 

Le miroir qui commençait à en avoir marre répondit aussitôt : « Noire Pluie, est mille fois plus bénie de Allah que toi, putain, fous moi la paix maintenant »


Le mollah, consterné, devint livide de rage et d’envie. Depuis ce moment, la vue de Noire-Pluie lui bouleversa le cœur, tant la petite fille lui inspirait de haine. L’envie et la jalousie ne firent que croître en lui, et il n’eut plus de repos ni jour ni nuit. Enfin, il fit venir son sicaire et lui dit : « Portez l’enfant dans le désert ; je ne veux plus l’avoir devant les yeux , là, vous la lapiderez et vous m’apporterez son foie et ses poumons, comme preuve de l’exécution de mes ordres. »


Le sicaire obéit et emmena l’enfant avec lui dans le désert mais là, il tomba sous le charme de Noire-Pluie ce qui constitue un exploit quand on songe qu’elle avait une Burqua et il renonça à la lapider. D’ailleurs ça l’arrangeait drôlement vu que le désert ne porte pas ce nom pour des prunes et donc va trouver des pierres sur cette étendue de sable à la con.. Et comme il vit courir devant lui un chien, il le tua, en prit le foie et les poumons, s’en fut les présenter au mollah, qui les fit bien assaisonner et cuire : et le méchant homme crut manger la chair et le sang de Noire-Pluie.
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Pendant ce temps, la pauvre enfant errait toute seule dans le vaste désert.. Puis elle se mit à courir sur les dunes comme possédée ce qui constitue un effort remarquable : va donc courir avec une Burqua et en babouches. Elle courut aussi longtemps que ses pieds purent la porter, jusqu’à un petit bled, et elle aperçut alors une petite cabane où elle entra pour se reposer. Tout dans cette cabane était petit, mais si vilain et si crasseux qu’on ne saurait le décrire. Il y avait une petite table avec sept petites assiettes, chaque assiette avec sept petites fourchettes et sept petits gobelets. Contre le mur, il y avait sept paillasses l’une à côté de l’autre.


Pluie-Noire avait très-faim et très-soif. Elle mangea une cuillerée de pois chiches avec un peu de couscous, et but dans chaque gobelet une goutte d’eau, car elle ne voulait pas prendre une seule part tout entière. Puis, comme elle était fatiguée, elle essaya de se coucher sur l’une des paillasses; mais l’une était trop longue, l’autre trop petite, et enfin il n’y eut que la septième qui fût à sa taille; elle y resta donc, fit sa 8 ème prière de la journée sur la descente de lit et s’endormit.


La nuit venue, les maîtres de la cabane arrivèrent ; c’étaient des nains djihadistes qui combattaient les infidèles et en trucidaient le plus possible pour la plus grande gloire d’Allah et de son prophète. Ils allumèrent leurs petites lampes, et quand le logis fut éclairé, ils virent bientôt que quelqu’un avait passé par là, car tout n’était plus dans le même ordre où ils l’avaient laissé.


Après avoir regardé un peu partout ils finirent pas trouver Noire-Pluie sur leur paillasse et se récrièrent d’étonnement et chacun fut chercher sa lampe pour mieux la contempler. Ils étaient ravis de l’admirer et se gardèrent bien de l’éveiller Le matin, quand Noire-Pluie sortit de son sommeil, elle vit les petits hommes et fut effrayée. Mais ils se montrèrent fort aimables et lui demandèrent son nom. « Je me nomme Noire-Pluie» dit-elle.
– Par quel hasard, reprirent les nains, es-tu venue dans notre maison ? »

Alors elle leur conta son histoire comment le vilain Mollah avait voulu la faire tuer, comment le sicaire l’avait épargnée, et comment elle avait couru tout le jour jusqu’à ce qu’elle rencontrât la petite cabane. Les nains lui dirent :

« Veux-tu faire notre ménage, les lits, la cuisine, coudre, laver, tricoter ? En ce cas, nous te garderons avec nous et tu ne manqueras de rien. Et ils ajoutèrent : veux-tu participer à la cause et accomplir “le jihad du sexe” et y assouvir les besoins sexuels des combattants islamistes que nous sommes. 

Noire-Pluie leur promit tout ce qu’ils désiraient et resta chez eux Elle vaquait aux soins du ménage. Le matin, les nains s’en allaient pour égorger, tuer, couper en rondelles tout ce passait d’infidèles dans la région ; le soir, ils rentraient au logis, où le diner devait se trouver prêt sinon c’était des coups de fouet. Et puis bon, tous les soirs c’était chaud. Toute la journée la jeune fille était seule, et ils l’avertissaient en partant de se tenir sur ses gardes : « Car, disaient les bons petits hommes, le mollah saura bientôt que tu es ici, n’ouvre à personne ! »

Fin de l'épisode 1
 
 

 

 



23/12/2013
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